Ma signature, on m'en a parlé il y a peu. Apposée sur chaque dédicace, elle date de mes 17 ans et de ma première année chez Penninghen, en 1973. Elle a peu évolué, s'est assouplie, bien moins raide qu'à l'origine.Un logo, une marque de fabrique.
Médaille en or que je porte autour de mon cou depuis une douzaine d'années, comme un signe cabalistique.
... Ou un talisman.
Vous avez dit "porte-bonheur" ?
Très joli "porte-bonheur", en tout cas, beau bijou tout à fait personnel.
RépondreSupprimerUne bonne année à vous cher auteur dont j'ai découvert le blog en 2008, voeux de plein de petits bonheurs et projets professionnels qui se réalisent !
Merci... On va tout faire pour, c'est un peu le but. Ravi que ce petit espace auteur vous plaise...
RépondreSupprimerOn ne s'est pas croisés, à Illzach ou Strasbourg ? J'y suis pourtant venu les deux derniers mois...
Oui, en effet, il me plait ;-) pas de langue de bois comme vous l'annoncez, ça m'a accroché alors que je lis très peu de blogs par ailleurs.Et non, pas encore de rencontre (n'étant pas une fervente chasseuse de dedicaces en festival) mais je compte bien y remédier vu que vos pas se dirigent à nouveau vers l'Est prochainement !
RépondreSupprimerProchainement, effectivement. Je manque un peu de précisions quand aux dates, mais ça va changer vite. Quand à la langue, de bois ou pas, elle est vive et ça ne changera pas de sitôt.
RépondreSupprimerY'en a qui portent leur prénom autour du cou ou du poignet, me suis toujours demandé pourquoi. Peut-être en prévision d'une éventuelle amnésie... Auquel cas, manque l'adresse ou le téléphone comme sur la médaille des animaux de compagnie. Par contre, cette signature peut être considérée comme une oeuvre d'art reproduite en pendentif. Beau, tout simplement... Pourriez même envisager des produits dérivés pour vos fans, hein !
RépondreSupprimerC'est un E, et le bijou en or est unique, fait pour moi à la demande d'une personne qui m'est chère... Le porter est une évidence, c'est juste "MOI"...
RépondreSupprimerC'était juste une idée de "business". Beaucoup déjà s'en sont saisis, histoire de mettre du beurre dans les épinards, les produits dérivés n'étant pas une source de revenus négligeable. Perso, je n'ai pas l'âme d'une fan. Lorsque j'apprécie un artiste je préfère acheter l'oeuvre elle-même si tant est qu'elle reste abordable. Je n'irai donc jamais acheter une tasse ou un T-shirt à l'effigie d'un musicien ou d'un écrivain. Par contre, s'agissant d'un peintre ou sculpteur dont je n'ai pas les moyens de m'offrir une oeuvre qui me plait, il peut m'arriver de succomber au produit dérivé (magnets pour Warhol, tasse pour Roy Lichtenstein, affiches de certaines pièces de théatre qui m'ont beaucoup plu, repro miniature du Love de Robert Indiana vu en vrai auparavant, même un foulard pour Mucha et un parapluie pour Klimt...). Je peux acquerir vos livres, et je ne m'en prive pas d'ailleurs, je ne serais donc pas preneuse, mais je suis persuadée que ça aide à vendre davantage. Ah ah, je vous entends déjà très fier "Pfff, pas besoin de ça ! J'ai déjà un très beau canapé blanc, une montre élégante..." Rire. Ah, ces artistes !!! Faut tout de même bien vivre, hein ?!
RépondreSupprimerje serais un auteur connu et recherché que je ferais sans doute une série limitée à la vente. Là ça ne peut intéresser personne vraiment, à part un ou deux fans que je n'ai pas spécialement envie de voir porter ça en sautoir...
RépondreSupprimerC'est très perso.