10 février 2011

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8 commentaires:

  1. Le texte est de vous ?
    "Putain ! Déjà 5 heures !"
    Le chiffre 5, ça me fait penser à une exclamation d'anniversaire d'un artiste que j'aime bien lire
    "5 ans, putain..."

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  2. Détail: ça se passe où ? Parce qu'en dehors de Paris, rarissimes sont les pharmacies ouvertes à 5h du mat. Me semble que la croix verte est éteinte lorsque la pharmacie est fermée. Je ne mettrais pas ma main à couper, j'y tiens trop, mais presque...

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  3. Dans une BD, qui n'est pas un film ni une suite de photo, il y a forcément une souplesse, une forme de liberté d'adaptation. Ne pas prendre au pied de la lettre tout, sinon rien n'est jamais possible.

    J'ai vu des pharmacies qui n'éteignent jamais, c'est une question de pub... et de pognon puisque ça coûte de laisser tout allumé, comme disait ma grand mère...

    à tout chercher comme ça, vous trouverez quantité d'erreur partout. et pas que chez moi...

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  4. Je ne prête attention que lorsque ça m'intéresse...faut donc le prendre positivement, sorte de taquinerie !
    Problème d'interprétation lorsqu'il n'y a pas le ton et la mimique, sorry...

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  5. Mais lisez bien que le ton n'a aucune volonté d'être désagréable, simple explication amicale, bien entendu...
    La BD doit rester un loisir, et un plaisir, on ne peut de toute façon pas tout traduire comme on le ferait au cinéma, l'interprétation de l'auteur est part intégrante de sa "patte". Et puis le scénario n'est pas de moi, je me contente de suivre et de m'adapter à ce qui est écrit...

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  6. Pas facile par écrit...surtout si on n'a pas le "mode d'emploi" de l'interlocuteur. Très caustique pour ma part, mieux vaut le savoir, ça évite de se sentir blessé sans raison. Grande "déconneuse", en fait, devant l'Eternel... Mais intéressée en même temps.
    Alors merci pour les précisions. Le 28 janv, vous aviez écrit "textes (moi)", j'en avais conclu trop hativement que vous étiez ici le scénariste.

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  7. ça fait bizarre de croiser un héros de BD qui a le même nom que moi !

    Amitiés mon cher Erik.

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  8. Je n'y suis pour rien, mon camarade, je ne suis pas le scénariste de cette histoire... Mais c'est un prénom qui sonne bien.

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