Alors bien sûr, on se gargarise à nouveau avec le seul exemple de crowdfunding probant, Grégoire, encore et toujours, mais on est dans la BD, et les moyens de diffusion d'une chanson sont sans commune mesure avec le monde de l'édition.
Ne serait-ce que par le matraquage radio qu'on peut faire d'une chanson, alors qu'en BD, il est très difficile de faire connaitre un album, puisque ni télé ni radio n'en parlent, à part à de très rares exceptions.
Bien moins simple...
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