Cathia Engelbach parle sur son blog "à chacun sa lettre" de Sara avec une acuité qui me laisse sur le c... tant elle voit dans les planches des choses que nous y avons mises certes, mais indécelables pour 99% du public qui aura "l'impression des choses", un ressenti qui ne veut pas dire son nom, l'image mais pas les sous-titres.
Un vrai bonheur et des sourires quand elle décortique un détail auquel je n'avais pas pensé, mais qui est, à la lire, d'une évidence totale.
Cette fille lit au delà des cases, je l'ai dit une fois lors de sa précédente critique sur l'album Glénat "Arc de Triomphe"... L'espace blanc entre les cases, cette fine ligne qui sépare les images et fait la transition avec la suivante, permet au lecteur de voir se dérouler le film.
On fait travailler l'imaginaire. Nous choisissons les cases, les plans précis, 7 à 8 par page, mais ces espaces en contiennent tant d'autres...
... C'est dans le blog du Monde.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire