19 mai 2008

Connaissez-vous Bout d'Homme ?

Mon copain, JC Kraehn va dans peu de jours sortir "Bout d'Homme 5", enfin.

Et astucieusement, Glénat en profite pour remettre au goût du jour les 4 précédents avec une nouvelle maquette plutôt réussie, ainsi que de tout nouveaux dessins pour les couvertures.

Comme c'est un pote, je viens de le recevoir à la maison, envoyé par ses soins... Merci, camarade. Et je termine de le lire.

Un bon album, ma foi, avec de belles idées et des dessins en couleurs directes, j'en avais déjà un peu parlé ici lors de son passage à la maison il y a plusieurs mois...

Bon, comme souvent on attendra une suite à ce livre, car évidemment, une fois arrivé à la planche 46, on reste sur sa faim...

Sa fin ?

Pari réussi selon moi, mais je suis un inconditionnel...

2 commentaires:

  1. Veinard !
    Bout d'Homme reste un de mes meilleurs souvenirs de BD, j'espère que cette "suite" sera aussi bonne que le premier cycle.
    Vrai aussi que la réédition de ces 4 premiers tome est très belle et fait vraiment envie. Ahhh marketing quand tu nous tient... mais non, je ne craquerai pas, ne voyant pas l'utilité d'avoir deux fois le même album.
    Par contre, pour ceux qui ne connaissent pas je conseille vraiment cette série les yeux fermés.

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  2. @ Philippe: bon travail, dessin sympa. Mais si tu as les 4 précédents, pas de raison de craquer sur les rééditions...

    Bon, j'ai relu.

    L'album se laisse lire, même si je trouve le récit un peu convenu et prévisible, (les enfants voleurs, déjà utilisés dans le 4 des Aigles, du même dessinateur-scénariste) avec un côté "Oliver Twist" dans le propos. Il y a aussi comme du Loisel dans le ton et le trait qui prouve que le bougre a bien assimilé - même inconsciemment - son temps à bosser l'Atelier du Granit avec l'ami Régis...

    C'est un album qu'on aurait aimé voir sur 56 planches...

    De toute façon, un succès prévisible. Mérité. Mais je reste un peu sur ma faim en attendant le tome suivant, en général on part sur des pistes convenues (et c'est un piège...) avant de soudain dériver vers de l'inédit, avec JCK...

    J'attends les dérives.

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