

Tiens, au fait, tant qu'on est dans "bienvenue chez les ch'tis", plus de déplacement à Roubaix en fin de mois...
C'est dommage, l'endroit semblait plaisant et les contacts au téléphone bien agréables, mais on ne peut pas toujours faire ce qu'on veut. Bref, j'ai annulé !
Revenons à Nîmes. La bonne surprise, quelques semaines avant le festival, c'est de recevoir des billets en première classe TGV, une attention de plus en plus rare. Tout comme constater que l'hôtel choisi pour nous recevoir est un 4 étoiles renommé de la ville retenu les 4 jours durant quasiment rien que pour nous, Auteurs !

Merci Sylvie et Jean-Michel !
En même temps, les organisateurs de Nîmes ont un vrai budget pour les festivités, et ça se sent aussi. Il n'est pas question ici de blâmer ceux qui ont moins de moyens, mais que c'est agréable, ce standing affiché pour notre bien-être...
D'autant que parfois, il suffirait à ceux qui ont un budget limité d'inviter moins de monde, mais c'est souvent la surenchère. On préfère avoir le plateau le plus imposant possible, au détriment des moyens mis pour l'accueil et le plaisir des Auteurs invités... Classique. Et stupide.
Mais pas le cas ici. Sylvie "la bulle" Moretto que je n'avais pas croisée depuis des années lorqu'elle m'invitait dans sa librairie de la rue des chapeliers - voici... euh, longtemps - fait tout pour ses ouailles et court partout pour que tout le monde soit content !

J'appréhende un brin, le métier étant dans l'ensemble moins glamour que le cinéma et je suis à deux doigts de demander à changer de place pour me retrouver près d'une connaissance.
Et puis, comme il faut vivre dangereusement je décide au final de n'en rien faire. Et de découvrir ma voisine !

Sacré personnalité, la demoiselle titulaire d'un DESS marketing-communication a laissé de côté une impressionnante carrière toute tracée de directrice de la communication dans un grand groupe pour se lancer bille en tête dans une vie artistique moins facile mais bien plus dans ses aspirations. Chapeau ! "Mais carrément !"...




Les repas sont bien agréables à l'hôtel, le temps est magnifique.
Le lit en 70 cm de large est la seule petite ombre au programme pour qui aime dormir avec ses aises. Pas mal de signatures sur Witness 4 et Sophaletta. Des séries "mortes", si j'en crois les relevés de droits arrivés ce matin à la maison. Mais qui continuent à se vendre gentiment à chaque festival...

La fête avec la musique qui dure jusqu'au bout de la nuit. Sans moi, parti me coucher tôt, mais avec mon ordi et quelques DVD.
Ah, j'ai aussi croisé mon ami Tronchet, accompagné de son Antoine de fils, dont la maman s'appelle Anne aussi.
Des gens qui vont prendre une année sabbatique et filer un an vivre... à Quito, en Équateur. Sacrée aventure.

Je vous le conseille évidemment.
Le dimanche est plutôt speed, mais je reste de dormir et ne repartirai que le lundi matin de Nîmes, avec le plaisir d'un bon moment passé dans le Sud... Maintenant faut bosser.


Il était tricard partout, personne n'en voulait et on l'avait définitivement rangé parmi les ringards. Aujourd'hui il a vendu en 8 ans environ deux millions et demi d'albums...
À méditer. Même si c'est évidemment l'arbre qui cache la forêt...
Comment ??!! Annulé Roubaix. Ben mince alors...
RépondreSupprimerJ'imagine que c'est pour mieux avancer sur "Monte Cristo".
Ça fait quelques années que j'ai repéré ce festival de Nimes qui semble bien sympa au milieu des jardins, mais malheureusement trop loin pour moi. Je ne fais pas encore partie des ces "addicts" près à faire 1000 km pour une dédicace.
On pourra avoir des news de "Monte Cristo" bientôt ?
L'Impérator est un hôtel mythique, historique (les toreros y ont leurs quartiers...), devrais-je ajouter; toutefois un peu poussiéreux... mais si bien situé.
RépondreSupprimerSorry Philippe. Mais je n'ai pas le choix cette fois. Bon en même temps j'ai tellement de retard qu'il va bien falloir foncer et laisser de côté les festivals pendant quelques temps...
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