46 pages pour un livre à dessiner en trois mois, quinze pages par mois. Mise en route un peu laborieuse de ma part, je m'ébroue mais le rythme arrive. Il faut donc mathématiquement faire une page en deux jours maxi, c'est de l'historique autour du Champagne. Et je ne bois pas...
C'est plaisant à faire, même avec la pression. Le texte (et il y en a pas mal, pour synthétiser tout ça) est écrit par un scénariste efficace, qui fait aussi office de documentaliste (précieux) et me trouve des images classées par page...
La couleur est faite à Reims, un amusant clin d’œil. Prévu pour la fin du semestre.
Plaisant et surtout, très bien payé, il me souvient d'un 46 pages pour une institution bancaire qui m'avait rapporté plus d'argent que les 5 avances sur droit des bd courantes suivantes. C'était le bon temps :)
RépondreSupprimerEn l'occurence, ce n'est pas de la pub, mais un livre classique. Alors oui, si on fait en trois mois, c'est correctement payé. Si on étale en un an, c'est déjà moins facile...
RépondreSupprimerDe toute façon, il faut produire vite si on veut s'en sortir. Sans que ça se fasse au détriment de la qualité, évidemment... Dilemme. Il faut "produire" des albums en 4 mois maxi, c'est pour ça que Poker Face a deux albums en une année.