23 novembre 2012

Ô Corse, île d'amour...

Filer en Corse...

Une virée à Ajaccio ne se refuse pas. Prévu à l'origine début octobre et reporté pour des raisons de logistique trois semaines avant l'échéance, le festival se déroulera finalement bien deux mois plus tard dans quinze jours, la première semaine de décembre...

C'est un moment de franche convivialité amicale dans un endroit bien agréable, même si l'actualité récente met plutôt l'accent sur des événements infiniment moins drôles.

Ce n'est pas mon problème et puis ma grand-mère était une Bartoli... Donc j'ai du sang corse, les gars.

Certes dilué, mais quand même, tenez-en compte au moment où. J'espère revoir plusieurs des lecteurs et lectrices rencontrés l'an passé.

Et puis rien que pour les tambours des grognards de Napoléon sur les marches de la mairie au moment de la remise des prix ou encore les repas traditionnels corses dans des restaurants du cru, l'endroit vaut le déplacement pour l'auteur de base que je suis...

Parmi les invités:  

Aymond, Dubourg, Berlion, Rückstühl, Sandro, Taduc, Plisson, Puech, O'Griafa, Pask, Diette, Espinosa, Bob de Groot, Alexis Robin, Mitton, Coutelis, Pompetti, Sala, Castaza, Marko, Dubois, Bertocchini (photo) Le Borgne, Ullcer, Ristorcelli, Antonetti, Leandri, Andreani, Nino, Federzoni, Gaspard, Asisko, Marvano, Pellet, Holgado, etc...

Et moi.  
Festival International de la Bande Dessinée d'Ajaccio
 Du 7 au 9 décembre 2012
10h-12h - 14h-18h
Palais des Congrès

2 commentaires:

  1. des événements infiniment moins drôles.
    Si vous parlez içi du statut de pire en pire des auteurs,
    jeunes et vieux, il est certain que si on en connait bcp par les réseaux sociaux, ce n'est pas " moins drôles " qu'il faut utiliser comme adjectif mais carrément utiliser l'image du Titanic à 02h20 du matin, quand il
    se coupe en deux avant de couler.
    Mais j'ai l'impression que c'est "TABOU", à part Velhman sur son blog qui avait averti un peu le public, plus rien depuis, alors que la situation a empiré. Tabou vous dis je !!!

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  2. Ho, rien de tabou chez moi, qui ne suis pas le dernier pour parler du métier et de ses dérives. Je faisais allusion aux récents événements criminels dont à deux pas de l'hôtel où on dormira: rue Fiesch, à quelques numéros de là où est tombé un notable de l'île...

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